Reproduction interdite - Tous droits réservés - All rights reserved (art L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle). |
Samedi, rendez-vous était donc donné à 14 h à la maison des Haubans, une maison de quartier du nouveau Malakoff, pour une dernière répétition gratuite générale. Rendez-vous dans la bonne humeur était également pris aussi avec le public. Très rapidement, il se trouve que la salle promise ... ne convenait guère. Déjà, les musiciens se trouvaient à l'étroit dans la configuration "classique". Ni une, ni deux, une formation en L fut adoptée ; après-tout, il n'y avait rien de formel. A grands renforts de tables, les percussions furent installées en hauteur, dans un équilibre quelque peu précaire.
La place pour les spectateurs était malheureusement réduite à peau de chagrin. Nous avons essayé d'installer les arrivants au mieux des possibilités offertes. A ce titre, un aparté, on a eu notre dose de grognements (souvent de la part de femmes passées la soixantaine). Pour un minimum d'ordre et permettre au plus grand nombre d'y assister, nous avons été obligé de faire un peu la police avec le placement et le respect des lignes de chaises. Les dames désiraient se placer devant, quasiment sur les genoux des musiciens..... "Madame excusez-moi, il y aura des danseurs à votre place, et ils risqueraient de vous faire mal dans leurs gestes...." J'ai du répéter au moins dix fois cette phrase. Et en plus, nous nous sommes fait gronder !
Enfin, la lumière diffuse et légère ne fut pas de tout repos. Ce facteur limitant pour des clichés nettes, nécessita de nombreux et cependant agréables réglages testés et partagés avec Geoffrey. Je précise pour vous représentez le comique de la situation que Geoffrey est un tout jeune talabardier (joueur de bombarde), qu'il alternait son jeu à la bombarde et des gestes disons le honnêtement ... incompréhensibles ! Le but : régler son appareil-photo avec un gestuel de moulinette, de mains fermées, et ce, sans que le chef ne le remarque... bref, nous avons bien rigolé.
Père et fils au chant et à l'accordéon. Reproduction interdite - Tous droits réservés - All rights reserved (art L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle). |
La place pour les spectateurs était malheureusement réduite à peau de chagrin. Nous avons essayé d'installer les arrivants au mieux des possibilités offertes. A ce titre, un aparté, on a eu notre dose de grognements (souvent de la part de femmes passées la soixantaine). Pour un minimum d'ordre et permettre au plus grand nombre d'y assister, nous avons été obligé de faire un peu la police avec le placement et le respect des lignes de chaises. Les dames désiraient se placer devant, quasiment sur les genoux des musiciens..... "Madame excusez-moi, il y aura des danseurs à votre place, et ils risqueraient de vous faire mal dans leurs gestes...." J'ai du répéter au moins dix fois cette phrase. Et en plus, nous nous sommes fait gronder !
Quelques-uns des Talabardiers. Par terre, la veuze. Reproduction interdite - Tous droits réservés - All rights reserved (art L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle). |
Enfin, la lumière diffuse et légère ne fut pas de tout repos. Ce facteur limitant pour des clichés nettes, nécessita de nombreux et cependant agréables réglages testés et partagés avec Geoffrey. Je précise pour vous représentez le comique de la situation que Geoffrey est un tout jeune talabardier (joueur de bombarde), qu'il alternait son jeu à la bombarde et des gestes disons le honnêtement ... incompréhensibles ! Le but : régler son appareil-photo avec un gestuel de moulinette, de mains fermées, et ce, sans que le chef ne le remarque... bref, nous avons bien rigolé.
Reproduction interdite - Tous droits réservés - All rights reserved (art L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle). |
Des jeunes admirateurs arrivés avant même l'installation de la salle.
n°2, au centre :
Les sacs pour les bombardes et quatre bombardes perdues...
n°3, à droite :
Les sympathiques Geoffrey et Charlotte, tous deux talabardiers. Cette dernière est responsable de la formation bombarde du bagadig (littéralement "petit bagad", un groupe pour les débutants et donc la relève pour un bagad).
Katell (responsable cornemuse au bagadig) et R. Reproduction interdite - Tous droits réservés - All rights reserved (art L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle). |
La répétition en public s'est très bien déroulée, les talabardiers étaient assurément au point, les sonneurs (cornemuses) moins, à cause de leur difficulté à arrêter leur bourdon quand il fallait. Les percussions réglaient les tous derniers détails. Les organismes étaient déjà bien fatiguées à la veille du concours. Le public parti, il ne restait plus qu'à peaufiner les costumes. Les femmes et les hommes portent tous les même gilets. Pas de bragou braz mais un simple pantalon noir pour les hommes et au choix pour les femmes également. Pour celles qui auraient choisi la jupe (goeledenn)... nous allons dire qu'elle ne met personne en valeur. C'est un espèce de truc largement évasé à partir de la taille et à deux pans sur le devant. Tous habillés, ça a du style ! Ne reste plus qu'à faire route vers Saint-Brieuc demain...
Le Bagad Naoned, presque dans son ensemble. Reproduction interdite - Tous droits réservés - All rights reserved (art L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle). |
E.M
Commentaires